En territoire ennemi 1914-1949. Expériences ...
Type de document :
Direction d'ouvrage
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Titre :
En territoire ennemi 1914-1949. Expériences d'occupation, transferts, héritages
Auteur(s) :
Julien, Elise [Auteur]
Institut de Recherches Historiques du Septentrion (IRHiS) - UMR 8529 [IRHiS]
Debruyne, Emmanuel [Auteur]
Meirlaen, Matthias [Auteur]
Connolly, James [Auteur]
Institut de Recherches Historiques du Septentrion (IRHiS) - UMR 8529 [IRHiS]
Debruyne, Emmanuel [Auteur]
Meirlaen, Matthias [Auteur]
Connolly, James [Auteur]
Éditeur :
Presses Universitaires du Septentrion
Lieu de publication :
Villeneuve d'Ascq
Date de publication :
2016-01
Nombre de pages :
234
ISBN :
978-2-7574-1924-3
Mot(s)-clé(s) :
Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
Après-guerres
Occupation étrangère
Occupation militaire
Transferts d'expériences
Europe au 20e siècle
Seconde Guerre mondiale
Après-guerres
Occupation étrangère
Occupation militaire
Transferts d'expériences
Europe au 20e siècle
Discipline(s) HAL :
Sciences de l'Homme et Société/Histoire
Résumé :
Vivre une occupation militaire, c'est vivre avec l’ennemi. Les contributions ici réunies proposent de redécouvrir ces occupations, en 14-18 comme en 39-45 ou durant les sorties de guerre, en France et en Belgique comme en ...
Lire la suite >Vivre une occupation militaire, c'est vivre avec l’ennemi. Les contributions ici réunies proposent de redécouvrir ces occupations, en 14-18 comme en 39-45 ou durant les sorties de guerre, en France et en Belgique comme en Pologne, en Afrique centrale ou en Allemagne. Entre dialogue et rapport de force, occupants et occupés s’adaptent à une coexistence imposée par le sort des armes. Les expériences françaises et belges de la Grande Guerre montrent d’abord des occupés pris entre normes de conduite collectives – imposant une distance avec l’occupant – et stratégies d’accommodation individuelle – pouvant conduire au rapprochement. De ces tensions et des souffrances de l’occupation émerge une mémoire complexe aux multiples déclinaisons locales. À une échelle plus vaste, les occupations s’avèrent en outre liées entre elles par de multiples transferts. Quels que soient la période et le lieu, les occupations passées ou éloignées contribuent ainsi à nourrir le face-à-face entre occupants et occupés.Lire moins >
Lire la suite >Vivre une occupation militaire, c'est vivre avec l’ennemi. Les contributions ici réunies proposent de redécouvrir ces occupations, en 14-18 comme en 39-45 ou durant les sorties de guerre, en France et en Belgique comme en Pologne, en Afrique centrale ou en Allemagne. Entre dialogue et rapport de force, occupants et occupés s’adaptent à une coexistence imposée par le sort des armes. Les expériences françaises et belges de la Grande Guerre montrent d’abord des occupés pris entre normes de conduite collectives – imposant une distance avec l’occupant – et stratégies d’accommodation individuelle – pouvant conduire au rapprochement. De ces tensions et des souffrances de l’occupation émerge une mémoire complexe aux multiples déclinaisons locales. À une échelle plus vaste, les occupations s’avèrent en outre liées entre elles par de multiples transferts. Quels que soient la période et le lieu, les occupations passées ou éloignées contribuent ainsi à nourrir le face-à-face entre occupants et occupés.Lire moins >
Résumé en anglais : [en]
To live under military occupation is to live with the enemy. The contributions gathered here propose to rediscover these occupations, in 14-18 as well as in 39-45 or during the post-war period, in France and Belgium as ...
Lire la suite >To live under military occupation is to live with the enemy. The contributions gathered here propose to rediscover these occupations, in 14-18 as well as in 39-45 or during the post-war period, in France and Belgium as well as in Poland, Central Africa or Germany. Between dialogue and power struggle, occupiers and occupied adapt to a coexistence imposed by the fate of arms. The French and Belgian experiences of the Great War show first of all that the occupied were caught between collective norms of conduct - imposing a distance from the occupier - and individual strategies of accommodation - which could lead to rapprochement. From these tensions and the sufferings of the occupation emerges a complex memory with multiple local variations. On a larger scale, the occupations are also linked by multiple transfers. Whatever the period and the place, past or distant occupations thus contribute to nourish the face-to-face between occupants and occupied.Lire moins >
Lire la suite >To live under military occupation is to live with the enemy. The contributions gathered here propose to rediscover these occupations, in 14-18 as well as in 39-45 or during the post-war period, in France and Belgium as well as in Poland, Central Africa or Germany. Between dialogue and power struggle, occupiers and occupied adapt to a coexistence imposed by the fate of arms. The French and Belgian experiences of the Great War show first of all that the occupied were caught between collective norms of conduct - imposing a distance from the occupier - and individual strategies of accommodation - which could lead to rapprochement. From these tensions and the sufferings of the occupation emerges a complex memory with multiple local variations. On a larger scale, the occupations are also linked by multiple transfers. Whatever the period and the place, past or distant occupations thus contribute to nourish the face-to-face between occupants and occupied.Lire moins >
Langue :
Français
Audience :
Internationale
Vulgarisation :
Non
Établissement(s) :
Université de Lille
CNRS
CNRS
Date de dépôt :
2021-04-16T16:22:36Z
2021-04-20T14:25:47Z
2021-04-22T12:10:31Z
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