Le contrôle forme les jeunesses
Type de document :
Partie d'ouvrage: Chapitre
URL permanente :
Titre :
Le contrôle forme les jeunesses
Auteur(s) :
Desage, Fabien [Auteur]
Centre d'Etudes et de Recherches Administratives, Politiques et Sociales - UMR 8026 [CERAPS]
Centre d'Etudes et de Recherches Administratives, Politiques et Sociales - UMR 8026 [CERAPS]
Éditeur(s) ou directeur(s) scientifique(s) :
Desage, Fabien
Sallée, Nicolas
Sallée, Nicolas
Titre de l’ouvrage :
Le contrôle des jeunes déviants. Savoirs, institutions, territoires
Pagination :
9-25
Éditeur :
Presses universitaires de Montréal
Lieu de publication :
Montréal
Date de publication :
2015
Discipline(s) HAL :
Sciences de l'Homme et Société/Science politique
Résumé :
Depuis une vingtaine d’années, dans de nombreux pays occidentaux, certaines des fractions les plus « désaffiliées » de la jeunesse tendent à prendre le visage, dans les médias dominants comme dans l’espace politique, de ...
Lire la suite >Depuis une vingtaine d’années, dans de nombreux pays occidentaux, certaines des fractions les plus « désaffiliées » de la jeunesse tendent à prendre le visage, dans les médias dominants comme dans l’espace politique, de nouvelles « classes dangereuses » (Chevalier, 1958). Sur fond d’une problématisation conjointe du thème de « l’insécurité » et de celui de « l’intégration » des minorités racisées, se dessinent les contours – discursifs et symboliques – de figures stéréotypées : pour ne nous référer qu’aux trois principaux pays traités dans cet ouvrage, nous pourrions dire qu’à la figure québécoise du jeune Haïtien membre des gangs de rue semble faire écho la figure française du jeune Maghrébin délinquant des cités et celle, brésilienne, du jeune noir criminel des favelas.Lire moins >
Lire la suite >Depuis une vingtaine d’années, dans de nombreux pays occidentaux, certaines des fractions les plus « désaffiliées » de la jeunesse tendent à prendre le visage, dans les médias dominants comme dans l’espace politique, de nouvelles « classes dangereuses » (Chevalier, 1958). Sur fond d’une problématisation conjointe du thème de « l’insécurité » et de celui de « l’intégration » des minorités racisées, se dessinent les contours – discursifs et symboliques – de figures stéréotypées : pour ne nous référer qu’aux trois principaux pays traités dans cet ouvrage, nous pourrions dire qu’à la figure québécoise du jeune Haïtien membre des gangs de rue semble faire écho la figure française du jeune Maghrébin délinquant des cités et celle, brésilienne, du jeune noir criminel des favelas.Lire moins >
Langue :
Français
Comité de lecture :
Oui
Audience :
Internationale
Vulgarisation :
Non
Établissement(s) :
CNRS
Université de Lille
Université de Lille
Collections :
Date de dépôt :
2019-10-23T11:58:03Z