Un fabricant de génériques contrefait-il ...
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Titre :
Un fabricant de génériques contrefait-il un brevet protégeant une nouvelle application thérapeutique non mentionnée dans son AMM?
Auteur(s) :
Titre de la revue :
Revue générale de droit médical (RGDM)
Nom court de la revue :
RGDM
Numéro :
28
Titre du fascicule / de la collection :
Panorama de droit pharmaceutique - 2019
Pagination :
121-131
Date de publication :
2020-01
ISSN :
2105-2247
Mot(s)-clé(s) :
brevet
contrefaçon
AMM
étiquetage partiel
contrefaçon
AMM
étiquetage partiel
Discipline(s) HAL :
Sciences de l'Homme et Société/Droit
Résumé :
Cet article, se focalisant sur l’affaire prégabaline, étudie les décisions anglaise et française ayant jugé si un fabricant de génériques est contrefacteur d’un brevet protégeant une nouvelle application thérapeutique même ...
Lire la suite >Cet article, se focalisant sur l’affaire prégabaline, étudie les décisions anglaise et française ayant jugé si un fabricant de génériques est contrefacteur d’un brevet protégeant une nouvelle application thérapeutique même si l’AMM générique est limitée aux indications non protégées par l’intermédiaire d’un « skinny label ». Alors que le point de vue des juges français semble définitivement tranché, la Cour suprême anglaise a pris soin de préciser dans sa conclusion que ce serait aller trop loin en faveur des fabricants de génériques de suggérer comme règle absolue qu’un produit générique présenté et mis sur le marché uniquement pour des utilisations thérapeutiques non protégées sera toujours jugé comme ne contrefaisant pas un brevet portant sur une nouvelle application thérapeutique.Lire moins >
Lire la suite >Cet article, se focalisant sur l’affaire prégabaline, étudie les décisions anglaise et française ayant jugé si un fabricant de génériques est contrefacteur d’un brevet protégeant une nouvelle application thérapeutique même si l’AMM générique est limitée aux indications non protégées par l’intermédiaire d’un « skinny label ». Alors que le point de vue des juges français semble définitivement tranché, la Cour suprême anglaise a pris soin de préciser dans sa conclusion que ce serait aller trop loin en faveur des fabricants de génériques de suggérer comme règle absolue qu’un produit générique présenté et mis sur le marché uniquement pour des utilisations thérapeutiques non protégées sera toujours jugé comme ne contrefaisant pas un brevet portant sur une nouvelle application thérapeutique.Lire moins >
Langue :
Français
Audience :
Non spécifiée
Vulgarisation :
Non
Établissement(s) :
Université de Lille
Équipe(s) de recherche :
L’Équipe de Recherche Appliquée au Droit Privé
Date de dépôt :
2021-02-03T14:33:29Z
2021-06-11T13:14:04Z
2021-06-11T13:14:04Z