Pathophysiology in allergic and non-allergic ...
Type de document :
Article dans une revue scientifique: Article de synthèse/Review paper
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Titre :
Pathophysiology in allergic and non-allergic rhinoconjunctivitis
Titre traduit :
Mécanismes physiopathologiques des rhinoconjonctivites allergiques et non allergiques
Auteur(s) :
Mortuaire, Geoffrey [Auteur]
Institute for Translational Research in Inflammation - U 1286 [INFINITE]
Institute for Translational Research in Inflammation - U 1286 [INFINITE]
Titre de la revue :
Revue francaise d'allergologie
Nom court de la revue :
Rev. Fr. Allergol.
Numéro :
60
Pagination :
272-274
Date de publication :
2020-06-01
ISSN :
1877-0320
Mot(s)-clé(s) :
Eosinophil
Nasal hyper-reactivity
Parasympathic nerves
Immunoglobulin E
Nasal hyper-reactivity
Parasympathic nerves
Immunoglobulin E
Discipline(s) HAL :
Sciences du Vivant [q-bio]
Résumé :
Les rhinoconjonctivites allergiques et non allergiques appartiennent au groupe des dysfonctionnements rhinosinusiens chroniques (DRSC) [1]. Elles représenteraient 30 % des DRSC et se caractérisent par une symptomatologie ...
Lire la suite >Les rhinoconjonctivites allergiques et non allergiques appartiennent au groupe des dysfonctionnements rhinosinusiens chroniques (DRSC) [1]. Elles représenteraient 30 % des DRSC et se caractérisent par une symptomatologie fonctionnelle évoluant plus de 12 semaines associant le plus souvent obstruction nasale, rhinorrhées, éternuements, prurit nasal et conjonctival [2]. L’examen clinique par nasofibroscopie retrouve un œdème muqueux diffus des fosses nasales prédominant souvent au contact des cornets inférieurs. Une imagerie tomodensitométrique, lorsqu’elle est réalisée, confirme l’œdème muqueux des fosses nasales sans opacité majeure des cavités sinusiennes [1]. La distinction clinique entre les formes allergiques et non allergiques peut être rendue difficile par la présence conjointe d’une hyperréactivité nasale (HRN). La physiopathologie des formes, dites allergiques, est bien établie et est dépendante de la production d’IgE au niveau muqueux. Les mécanismes associés aux formes non allergiques sont de mieux en mieux connus mais restent discutés pour certaines formes cliniques.Lire moins >
Lire la suite >Les rhinoconjonctivites allergiques et non allergiques appartiennent au groupe des dysfonctionnements rhinosinusiens chroniques (DRSC) [1]. Elles représenteraient 30 % des DRSC et se caractérisent par une symptomatologie fonctionnelle évoluant plus de 12 semaines associant le plus souvent obstruction nasale, rhinorrhées, éternuements, prurit nasal et conjonctival [2]. L’examen clinique par nasofibroscopie retrouve un œdème muqueux diffus des fosses nasales prédominant souvent au contact des cornets inférieurs. Une imagerie tomodensitométrique, lorsqu’elle est réalisée, confirme l’œdème muqueux des fosses nasales sans opacité majeure des cavités sinusiennes [1]. La distinction clinique entre les formes allergiques et non allergiques peut être rendue difficile par la présence conjointe d’une hyperréactivité nasale (HRN). La physiopathologie des formes, dites allergiques, est bien établie et est dépendante de la production d’IgE au niveau muqueux. Les mécanismes associés aux formes non allergiques sont de mieux en mieux connus mais restent discutés pour certaines formes cliniques.Lire moins >
Langue :
Anglais
Audience :
Internationale
Vulgarisation :
Non
Établissement(s) :
CHU Lille
Inserm
Université de Lille
Inserm
Université de Lille
Date de dépôt :
2021-07-06T12:45:11Z
2024-03-28T11:01:22Z
2024-03-28T11:01:22Z
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