The formation of living and non-living ...
Type de document :
Article dans une revue scientifique
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Titre :
The formation of living and non-living superordinate concepts as a function of individual differences
Auteur(s) :
KALENINE, SOLENE [Auteur]
Laboratoire de Psychologie et NeuroCognition [LPNC]
Bonthoux, Françoise [Auteur]

Laboratoire de Psychologie et NeuroCognition [LPNC]
Bonthoux, Françoise [Auteur]
Titre de la revue :
Current Psychology Letters
Numéro :
19
Date de publication :
2006
Discipline(s) HAL :
Sciences cognitives
Résumé :
Une approche différentielle de la formation des concepts envisage que ceux-ci dérivent des relations de similarité et de proximité contextuelle entre les objets, leur implication variant selon les individus et le domaine. ...
Lire la suite >Une approche différentielle de la formation des concepts envisage que ceux-ci dérivent des relations de similarité et de proximité contextuelle entre les objets, leur implication variant selon les individus et le domaine. Pour tester cette hypothèse, une tâche d’appariement opposant un associé thématique et un associé taxonomique de niveau de base a d’abord été proposée à des enfants de 3 ans. Malgré un biais taxonomique, les choix s’ordonnent sur un continuum thématique - taxonomique. Dans une seconde phase, les performances en catégorisation surordonnée sont analysées selon la sensibilité à chaque relation en phase 1 et le domaine. Les enfants les plus sensibles aux relations taxonomiques montrent un avantage pour le vivant mais les scores des enfants les plus sensibles aux relations thématiques ne diffèrent pas selon le domaine. En outre pour le vivant, les performances surordonnées sont corrélées avec les choix en phase 1 ; aucun lien n’est observé pour le non-vivant. Dans l’ensemble, ces résultats appuient un modèle différentiel du développement conceptuel.Lire moins >
Lire la suite >Une approche différentielle de la formation des concepts envisage que ceux-ci dérivent des relations de similarité et de proximité contextuelle entre les objets, leur implication variant selon les individus et le domaine. Pour tester cette hypothèse, une tâche d’appariement opposant un associé thématique et un associé taxonomique de niveau de base a d’abord été proposée à des enfants de 3 ans. Malgré un biais taxonomique, les choix s’ordonnent sur un continuum thématique - taxonomique. Dans une seconde phase, les performances en catégorisation surordonnée sont analysées selon la sensibilité à chaque relation en phase 1 et le domaine. Les enfants les plus sensibles aux relations taxonomiques montrent un avantage pour le vivant mais les scores des enfants les plus sensibles aux relations thématiques ne diffèrent pas selon le domaine. En outre pour le vivant, les performances surordonnées sont corrélées avec les choix en phase 1 ; aucun lien n’est observé pour le non-vivant. Dans l’ensemble, ces résultats appuient un modèle différentiel du développement conceptuel.Lire moins >
Résumé en anglais : [en]
A differential approach of concepts formation considers that concepts can derive from similarity and contextual relations, their involvement varying according to individuals and domains. The following experiment was designed ...
Lire la suite >A differential approach of concepts formation considers that concepts can derive from similarity and contextual relations, their involvement varying according to individuals and domains. The following experiment was designed to test this differential hypothesis. Session 1 investigated individual differences in 3 year-old children with a matching task contrasting a thematic match and a basic-level taxonomic match. In spite of a taxonomic bias, children’s sensitivity to each relation ordered on a taxonomic-thematic continuum. In session 2, taxonomic performances in superordinate categorization were analyzed as a function of children’s sensitivity and objects domain. Children most sensitive to basic level taxonomic relations categorized better living things than non-living things at the superordinate level. On the contrary, no difference between domains was observed for children most sensitive to thematic relations. Moreover, superordinate performances for living things appeared correlated to choices in session 1, unlike for non-living things. Overall, results supported a differential approach of conceptual development.Lire moins >
Lire la suite >A differential approach of concepts formation considers that concepts can derive from similarity and contextual relations, their involvement varying according to individuals and domains. The following experiment was designed to test this differential hypothesis. Session 1 investigated individual differences in 3 year-old children with a matching task contrasting a thematic match and a basic-level taxonomic match. In spite of a taxonomic bias, children’s sensitivity to each relation ordered on a taxonomic-thematic continuum. In session 2, taxonomic performances in superordinate categorization were analyzed as a function of children’s sensitivity and objects domain. Children most sensitive to basic level taxonomic relations categorized better living things than non-living things at the superordinate level. On the contrary, no difference between domains was observed for children most sensitive to thematic relations. Moreover, superordinate performances for living things appeared correlated to choices in session 1, unlike for non-living things. Overall, results supported a differential approach of conceptual development.Lire moins >
Langue :
Anglais
Audience :
Non spécifiée
Établissement(s) :
Université de Lille
CNRS
CHU Lille
CNRS
CHU Lille
Collections :
Date de dépôt :
2019-06-28T12:59:25Z
2019-07-10T09:14:34Z
2019-07-10T09:14:34Z
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