Ecologie politique et la notion de service public
Type de document :
Communication dans un congrès avec actes
URL permanente :
Titre :
Ecologie politique et la notion de service public
Auteur(s) :
Villalba, Bruno [Auteur]
Centre d'Etudes et de Recherches Administratives, Politiques et Sociales - UMR 8026 [CERAPS]
Centre d'Etudes et de Recherches Administratives, Politiques et Sociales - UMR 8026 [CERAPS]
Éditeur(s) ou directeur(s) scientifique(s) :
Cherrier, Emmanuel
François, Stéphane
François, Stéphane
Titre de la manifestation scientifique :
Journée d'Etudes "Services publics et idéologie(s)"
Ville :
Valenciennes
Date de début de la manifestation scientifique :
2014-04-10
Titre du fascicule / de la collection :
Savoir Mieux
Éditeur :
Presses Universitaires du Septentrion
Mot(s)-clé(s) :
Ecologie politique
Service public
Service public
Discipline(s) HAL :
Sciences de l'Homme et Société/Science politique
Résumé :
L’écologie politique s’est historiquement constituée, en partie, par sa défiance à l’égard de l’État et de son organisation bureaucratique. Dès ses origines – dont il faut souligner la diversité des influences théoriques, ...
Lire la suite >L’écologie politique s’est historiquement constituée, en partie, par sa défiance à l’égard de l’État et de son organisation bureaucratique. Dès ses origines – dont il faut souligner la diversité des influences théoriques, passant du régionalisme à l’approche libertaire, du localisme à l’internationalisme –, elle se structure à partir d’une critique radicale des conséquences d’un développement économique, soutenu et porté et en partie défini par l’État. Les approches de l’écologie politique se rejoignent dans cette critique de la société industrielle, marquée par son productivisme, sa technocratie et son apologie de la croissance consumériste. Le productivisme se construit selon un système centralisé, hiérarchisé, caractérisé par la parcellisation des tâches et le gigantisme des unités de production. Dans un tel système, l’homme est uniquement considéré comme un agent producteur et un consommateur. Ce système organise son extension continue et nécessite une utilisation extensive desLire moins >
Lire la suite >L’écologie politique s’est historiquement constituée, en partie, par sa défiance à l’égard de l’État et de son organisation bureaucratique. Dès ses origines – dont il faut souligner la diversité des influences théoriques, passant du régionalisme à l’approche libertaire, du localisme à l’internationalisme –, elle se structure à partir d’une critique radicale des conséquences d’un développement économique, soutenu et porté et en partie défini par l’État. Les approches de l’écologie politique se rejoignent dans cette critique de la société industrielle, marquée par son productivisme, sa technocratie et son apologie de la croissance consumériste. Le productivisme se construit selon un système centralisé, hiérarchisé, caractérisé par la parcellisation des tâches et le gigantisme des unités de production. Dans un tel système, l’homme est uniquement considéré comme un agent producteur et un consommateur. Ce système organise son extension continue et nécessite une utilisation extensive desLire moins >
Langue :
Français
Audience :
Internationale
Vulgarisation :
Non
Établissement(s) :
CNRS
Université de Lille
Université de Lille
Collections :
Date de dépôt :
2019-10-29T11:37:36Z
2021-06-28T07:21:40Z
2021-06-28T07:21:40Z