“Aher a arraché les jeunes pousses du ...
Type de document :
Compte-rendu et recension critique d'ouvrage
Titre :
“Aher a arraché les jeunes pousses du paradis” : Elisha ben Abouyah, une figure de l’autre dans la littérature rabbinique ancienne
Auteur(s) :
Batsch, Christophe [Auteur]
Centre d'Études en Civilisations, Langues et Lettres Étrangères - ULR 4074 [CECILLE]
Centre d'Études en Civilisations, Langues et Lettres Étrangères - ULR 4074 [CECILLE]
Titre de la revue :
Revue des Etudes juives
Pagination :
383-396
Éditeur :
Peeters Publishers
Date de publication :
2013
ISSN :
0484-8616
Discipline(s) HAL :
Sciences de l'Homme et Société/Histoire
Sciences de l'Homme et Société/Religions
Sciences de l'Homme et Société/Religions
Résumé :
La figure talmudique de l’apostat Aḥer (« l’autre », surnom attribué à l’ancien rabbin Elisha ben Abuyah), a servi inter al. à illustrer des questions théologiques complexes débattues aux premiers temps du judaïsme rabbinique. ...
Lire la suite >La figure talmudique de l’apostat Aḥer (« l’autre », surnom attribué à l’ancien rabbin Elisha ben Abuyah), a servi inter al. à illustrer des questions théologiques complexes débattues aux premiers temps du judaïsme rabbinique. Elles concernent aussi bien la réaffirmation d’un monothéisme rigoureux, la part de liberté humaine face à la providence divine, ou la capacité infinie du pardon divin. Dans ces discussions, le personnage d’Aḥer incarne souvent ce « franc-parler » que Foucault nommait la parrêsia, et qui représente la part d’altérité nécessaire à la manifestation d’une vérité dogmatique.Lire moins >
Lire la suite >La figure talmudique de l’apostat Aḥer (« l’autre », surnom attribué à l’ancien rabbin Elisha ben Abuyah), a servi inter al. à illustrer des questions théologiques complexes débattues aux premiers temps du judaïsme rabbinique. Elles concernent aussi bien la réaffirmation d’un monothéisme rigoureux, la part de liberté humaine face à la providence divine, ou la capacité infinie du pardon divin. Dans ces discussions, le personnage d’Aḥer incarne souvent ce « franc-parler » que Foucault nommait la parrêsia, et qui représente la part d’altérité nécessaire à la manifestation d’une vérité dogmatique.Lire moins >
Résumé en anglais : [en]
The Talmudic figure of the apostate Aḥer (« the other », nickname given to the former rabbi Elisha ben Abuyah) has been used, inter al., for illustrating some complex theological questions discussed in ancient rabbinic ...
Lire la suite >The Talmudic figure of the apostate Aḥer (« the other », nickname given to the former rabbi Elisha ben Abuyah) has been used, inter al., for illustrating some complex theological questions discussed in ancient rabbinic Judaism. Such matters as monotheism, man’s freedom confronted with divine providence, unlimited ability of divine forgiveness etc. In these discussions Aḥer often represents the kind of « free-speech » that Michel Foucault called parrêsia.Lire moins >
Lire la suite >The Talmudic figure of the apostate Aḥer (« the other », nickname given to the former rabbi Elisha ben Abuyah) has been used, inter al., for illustrating some complex theological questions discussed in ancient rabbinic Judaism. Such matters as monotheism, man’s freedom confronted with divine providence, unlimited ability of divine forgiveness etc. In these discussions Aḥer often represents the kind of « free-speech » that Michel Foucault called parrêsia.Lire moins >
Langue :
Français
Vulgarisation :
Non
Source :
Fichiers
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