Mouvements et vie chez Aristote : Quelques ...
Document type :
Compte-rendu et recension critique d'ouvrage
Title :
Mouvements et vie chez Aristote : Quelques remarques « autour » des plantes
Author(s) :
Benatouil, Thomas [Auteur]
Savoirs, Textes, Langage (STL) - UMR 8163 [STL]
Université de Lille - Faculté des Humanités [UL Humanités]
Savoirs, Textes, Langage (STL) - UMR 8163 [STL]
Université de Lille - Faculté des Humanités [UL Humanités]
Journal title :
Anais de Filosofia Clássica
Movimento em Aristóteles II
Movimento em Aristóteles II
Pages :
1-20
Publisher :
Universidade Federal do Rio de Janeiro
Publication date :
2019-09-13
ISSN :
1982-5323
HAL domain(s) :
Sciences de l'Homme et Société/Philosophie
English abstract : [en]
Cet article aborde les rapports entre vie et mouvement chez Aristote en se penchantsur la distinction entre plantes et animaux. Est-ce que le mouvement local peut servir de critèrepour établir la frontière entre plantes ...
Show more >Cet article aborde les rapports entre vie et mouvement chez Aristote en se penchantsur la distinction entre plantes et animaux. Est-ce que le mouvement local peut servir de critèrepour établir la frontière entre plantes et animaux ? On montre que la réponse est négative à lafois à cause de l'existence d'animaux immobiles et de non-vivants mobiles, et parce que seull'automouvement et non le mouvement en lui-même peut être tenu pour un critère véritable de lavie. On montre dès lors en quoi les plantes sont bien en un sens automotrices. Le cas desanimaux incertains permet en outre de mieux comprendre le statut de la frontière entre plantes etanimaux à l'intérieur du vivant et les analogies qui existent entre eux.Show less >
Show more >Cet article aborde les rapports entre vie et mouvement chez Aristote en se penchantsur la distinction entre plantes et animaux. Est-ce que le mouvement local peut servir de critèrepour établir la frontière entre plantes et animaux ? On montre que la réponse est négative à lafois à cause de l'existence d'animaux immobiles et de non-vivants mobiles, et parce que seull'automouvement et non le mouvement en lui-même peut être tenu pour un critère véritable de lavie. On montre dès lors en quoi les plantes sont bien en un sens automotrices. Le cas desanimaux incertains permet en outre de mieux comprendre le statut de la frontière entre plantes etanimaux à l'intérieur du vivant et les analogies qui existent entre eux.Show less >
Language :
Français
Popular science :
Non
Collections :
Source :
Files
- https://revistas.ufrj.br/index.php/FilosofiaClassica/article/download/26083/15987
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