La voix des objets dans Le Silence de Louis Delluc
Type de document :
Partie d'ouvrage: Chapitre
URL permanente :
Titre :
La voix des objets dans Le Silence de Louis Delluc
Auteur(s) :
Jibokji, Josephine [Auteur]
Centre d'Etude des Arts Contemporains - ULR 3587 [CEAC]
Gignac, Melissa [Auteur]
Centre d'Etude des Arts Contemporains - ULR 3587 [CEAC]

Centre d'Etude des Arts Contemporains - ULR 3587 [CEAC]
Gignac, Melissa [Auteur]

Centre d'Etude des Arts Contemporains - ULR 3587 [CEAC]
Titre de l’ouvrage :
Le scénario : une source pour l’histoire du cinéma
Pagination :
133-144
Éditeur :
AFRHC
Date de publication :
2020
ISBN :
9782370290243
Discipline(s) HAL :
Sciences de l'Homme et Société/Art et histoire de l'art
Résumé :
Dès 1916, Louis Delluc se lance dans l'écriture scénaristique. Il n'aura de cesse de défendre l'unité esthétique de ce type de « littérature cinégraphique » qui devrait égaler, selon lui, la littérature théâtrale. Il pense ...
Lire la suite >Dès 1916, Louis Delluc se lance dans l'écriture scénaristique. Il n'aura de cesse de défendre l'unité esthétique de ce type de « littérature cinégraphique » qui devrait égaler, selon lui, la littérature théâtrale. Il pense par ailleurs que le film doit être réalisé par le scénariste lui-même car il fait tôt l'expérience de la « transposition ratée » de son scénario en film (La Fête espagnole, par Germaine Dulac, 1920). Un film en particulier fait état de sa blessure de cinéaste : Le Silence (1920). Ce film sur l'inexprimable, sur les émotions qui échappent au langage, interroge le chercheur en études cinématographiques, lui-même confronté à la transposition des images en mots dans l'analyse. En réfléchissant à ces passages entre le visuel et le dicible, les auteurs proposent l’utilisation complémentaire de l'archive scénaristique et des images du film comme un moyen d’enrichir l’interprétation des images par celles des mots.Lire moins >
Lire la suite >Dès 1916, Louis Delluc se lance dans l'écriture scénaristique. Il n'aura de cesse de défendre l'unité esthétique de ce type de « littérature cinégraphique » qui devrait égaler, selon lui, la littérature théâtrale. Il pense par ailleurs que le film doit être réalisé par le scénariste lui-même car il fait tôt l'expérience de la « transposition ratée » de son scénario en film (La Fête espagnole, par Germaine Dulac, 1920). Un film en particulier fait état de sa blessure de cinéaste : Le Silence (1920). Ce film sur l'inexprimable, sur les émotions qui échappent au langage, interroge le chercheur en études cinématographiques, lui-même confronté à la transposition des images en mots dans l'analyse. En réfléchissant à ces passages entre le visuel et le dicible, les auteurs proposent l’utilisation complémentaire de l'archive scénaristique et des images du film comme un moyen d’enrichir l’interprétation des images par celles des mots.Lire moins >
Langue :
Français
Audience :
Internationale
Vulgarisation :
Non
Établissement(s) :
Université de Lille
Collections :
Date de dépôt :
2021-06-13T09:57:06Z
2021-06-14T09:43:29Z
2021-06-14T09:43:29Z